Accueil

Retrouver le chemin de la santé et de la guerison
Rendez-vous en présentiel ou en visio
Je ne me sens pas au mieux de ma forme, je veux améliorer mon état de santé, mon bien-être ou mes performances?
On vient de me diagnostiquer un cancer, un parkinson, une maladie auto-immune mais je ne sais pas comment améliorer mon alimentation, quels exercices faire, comment vivre au mieux la maladie?
Une méthodologie sur-mesure est là pour vous permettre de faire le point.
En aucun cas, ce coaching ne se substitue à la médecine traditionnelle mais il est là pour améliorer votre bien-être quotidien.
40 % des cancers détectés pourraient être évités grâce à des changements de comportements individuels.
Comme le souligne l’Institut National du Cancer, chaque année, 40 % des cancers détectés pourraient être évités grâce à des changements de comportements individuels.
Les problèmes de santé mentale peuvent également influencer la capacité d’une personne à suivre les recommandations en matière de dépistage, ce qui peut également avoir un impact sur le stade de diagnostic et le pronostic.
Lorsqu’une personne est atteinte d’un cancer, l’annonce diagnostic est un véritable bouleversement émotionnel, tant pour elle que pour son entourage. Les épisodes de stress sont fréquents chez les personnes atteintes de cancer et ces personnes sont plus à risque de développer des symptômes dépressifs que la population générale, avec des taux de dépression très élevés (jusqu’à 30 à 50 %) dans des types spécifiques de cancer.
On entend souvent, « le moral c’est 50% de la guérison », comme évoqué ci-dessus, il n’est pas prouvé qu’une atteinte de la santé mentale influence directement le pronostic. Cette idée reçue peut entraîner une certaine culpabilité chez le patient et d’autant plus affecter son équilibre émotionnel et renforcer son anxiété…
En revanche, la dépression peut avoir des conséquences négatives sur l’observance thérapeutique et ainsi avoir une influence indirecte sur la guérison.
Au total, bien que la santé mentale ne puisse pas prévenir directement du cancer, elle peut jouer un rôle indirect dans le maintien d’un mode de vie sain et dans la gestion des facteurs de risque liés au cancer. Chez les personnes atteintes d’un cancer, une prise en charge globale qui inclut un soutien émotionnel, psychologique et/ou psychiatrique peut contribuer à améliorer la santé mentale et à favoriser leur bien-être général, essentiel pour avancer malgré l’adversité.
https://shs.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2006-8-page-683?lang=fr
La consommation de produits laitiers est associée au risque de maladie de Parkinson
Des études épidémiologiques suggèrent que la consommation de produits laitiers pourrait représenter un facteur de risque de la maladie de Parkinson (MP). Toutefois, cette association pourrait être expliquée par un biais de confusion ou la causalité inverse, compte tenu de la longue période prodromale de la MP au cours de laquelle des symptômes non-moteurs pourraient entrainer des modifications de l’alimentation avant le début de la maladie.
Une étude multicentrique publiée dans Movement Disorders et coordonnée par Alexis Elbaz (UMR-S 1018 CESP Inserm/UVSQ/UPSaclay, Villejuif) a permis d’examiner l’association entre la consommation de produits laitiers prédite génétiquement et la MP en utilisant la randomisation mendélienne (RM) à deux échantillons. La RM est une méthode dérivée des variables instrumentales qui permet, sous certaines hypothèses de validité des instruments génétiques associés à l’exposition, d’estimer l’association entre une exposition et une maladie non biaisée par la confusion ou la causalité inverse. Dans la RM à deux échantillons les associations entre l’instrument génétique et, d’une part, l’exposition (produits laitiers) et, d’autre part, la maladie (Parkinson) sont estimées dans des échantillons indépendants.
https://cesp.inserm.fr/fr/ev%C3%A8nement/la-consommation-de-produits-laitiers-est-associ%C3%A9e-au-risque-de-maladie-de-parkinson-%C3%A9tude
Des études ont montré que le stress constituerait un facteur de risque de diabète de type 2.
Des chercheurs de l’Université de Göteborg en Suède* ont suivi 6 828 hommes depuis 1970, alors que ces sujets étaient âgés de 47 à 56 ans. Ces patients remplissaient des questionnaires pour évaluer leur stress, alors qu’ils n’avaient aucun antécédent de diabète, de maladie coronarienne et d’antécédents d’AVC. Au départ, 15.5% des hommes ont déclaré un stress permanent. Durant l’étude, 899 hommes ont développé un diabète de type 2. Les scientifiques ont ainsi pu montrer que les sujets ayant un stress permanent avaient 45% de risques en plus de développer un diabète, par rapport à ceux qui ne déclaraient aucun stress. Ce lien reste significatif, même après ajustement par l’âge, le statut ou l’inactivité physique.
Une étude de février 2017** a également montré que les femmes soumises à un stress au travail ont plus de probabilité de souffrir d’un diabète de type 2.
L’hormone du stress fait monter la glycémie
Des chercheurs de l’Ohio State University Wexner Medical Center ont démontré que le lien peut aussi être inverse : le stress peut se répercuter sur la glycémie. Leur étude affirme qu’il existerait un lien entre l’hormone du stress, le cortisol, et une glycémie plus élevée chez les personnes atteintes de diabète de type 2. « En temps normal, chez les sujets sains, la sécrétion de cortisol varie naturellement au fil de la journée, avec un pic le matin et une chute la nuit », décrit le Dr Joshua J. Joseph, endocrinologue et principal auteur de l’étude. « Mais chez les patients diabétiques de type 2, les concentrations de cortisol sont importantes tout le long de la journée, et sont associées à un taux de sucre sanguin important ».
Réduire son stress pour mieux contrôler sa glycémie
La plupart des personnes diabétiques de type 2 sont bien conscientes de l’importance de certains facteurs de mode de vie comme la pratique d’une activité physique régulière, une alimentation équilibrée et un sommeil de bonne qualité dans la prévention et le contrôle de leur diabète. Mais la réduction du stress ne devrait pas être oubliée car il est source de déséquilibre du diabète.
Les personnes diabétiques de type 1 ou de type 2 sont par ailleurs particulièrement sensibles au stress. En effet, les contraintes générées par le diabète peuvent être sources de stress créant un cercle vicieux dont il est parfois difficile de s’extraire.
Heureusement, des activités permettant de faire baisser le niveau de stress existent
La pratique d’une activité physique régulière, la méditation, suivre une psychothérapie pour comprendre ses mécanismes émotionnels et les gérer, se réserver des moments pour soi (avec la famille et les amis, en prenant soin de son corps avec des massages ou des soins cosmétiques, en réalisant une activité qui nous procure du bien-être (lecture, cuisine, bricolage, arts créatifs, etc.) peuvent permettre de faire baisser le niveau de stress.
https://www.federationdesdiabetiques.org/federation/actualites/stress-et-diabete-de-type-2-quels-sont-les-liens
Une méthodolgie basée sur des preuves scientifiques
Solange CABAUP
Kinésithérapeute préventeur en santé-Ostéopathe



